Hyperactivation : insomnie, problème de concentration, hypervigilance (surveillance attentive et soutenue des gens et/ou de tout ce qui se passe dans l’environnement).
Évitement : éviter les pensées, les sentiments, les conversations, les endroits ou les gens associés ou qui éveillent l’évènement traumatique.
Détachement : te sentir « gelé-e », détaché-e face aux autres, avoir l’impression de ne plus rien ressentir pour ton chum/ta blonde, tes amis, pour les gens que tu aimais, te sentir (totalement) coupé-e de tes émotions.
Pertes d’intérêts : baisse d’intérêt marquée pour l’école ou des activités qui auparavant te tenaient à cœur.
Isolement : se tenir à l’écart, éloigné des autres parce qu’on a moins confiance en ceux qui nous entourent, parce qu’on a l’impression de ne pas être compris-e ou d’être différent-e.
Le danger avec l’évitement, le désintéressement et l’isolement, c’est qu’il s’auto-renforce; moins tu as le goût de faire des choses plus cela te déprime, et plus cela te déprime moins tu as le goût de bouger. Ainsi tes sentiments de tristesse et de dépression augmentent. Il est donc souhaitable que tu t’efforces, même si tu n’en a aucune envie, de rencontrer tes amis et de reprendre tes activités normales… même si, au tout début, cela te demande de l’effort et de l’énergie.
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